Ma collection de fiches techniques Kodak
À l’époque de la photo argentique moderne, c’est à dire l’utilisation des pellicule 35mm (24x36), le photographe amateur pouvait, s’il le désirait, développer voire tirer lui même ses films noir et blanc. Développer un film est facile et économique, vu que le matériel nécessaire se résout à une cuve, un thermomètre et de quoi doser les produits.
Dans le noir on débobine le film (exposé) de sa cartouche, on l’enroule autour d’une spirale, que l’on met dans la cuve, et on referme la cuve. Le reste peut se faire à la lumière, vu que le film est lui dans la cuve étanche. On lui fait subir plusieurs bains, puis on le sort, et on le laisse sécher.
Mais avant ça, il fallait prendre des photos, et donc choisir son film. Quand je devais acheter ma pellicule, je frissonnais, comme si tel ou tel film était si bon, comme le proclamait la réclame, que mes photos ne pouvaient être que réussies, voire des chef-d’oeuvres. Pareil pour la chimie et les papiers.
Une pellicule classique, la Tri-X de Kodak, utilisée par de nombreux photographes célèbres, une court aperçu sur ce blog :
La photographie de rue et le film Kodak Tri-X : 62 ans de succès et de grain !
Ces dernières années, grâce en partie aux médias sociaux et la facilité avec laquelle les participants peuvent partager…leblogphoto.net
Avant d’utiliser la pellicule le photographe était censé avoir lu sa fiche technique qui décrit ses caractéristiques (sensibilité, contraste, etc.) et la marche à suivre pour le développement (dilution, durée des bains, températures, etc.).
J’ai gardé ces fiches techniques de :
- pellicules noir et blanc
- film couleur
- films spéciaux (infrarouge, etc.)
- papiers
- chimie
- divers
Que vais les partager avec vous, au cas où vous les trouverez utile, car elle sont d’époque. La plupart sont en français. Comme elles sont très nombreuses, j’ai crée une publication Medium Ghost dédiée.
